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mercredi 28 avril 2021

EDITO

  Edito mai 2021 : 

Allumer le feu de l’Esprit Saint et cesser de polluer !


Le mois dernier, j’écrivais en titre de mon éditorial : « Non, les cloches ne se tairont pas ! » Je voulais par là nous encourager à ne pas baisser les bras en cette période de Pâques, centrale pour les chrétiens, et à nous montrer solidaires pour vaincre la pandémie.

Les cloches ont sonné la résurrection de Jésus-Christ ! Nous avons eu la joie, malgré les règles strictes limitant le nombre de fidèles, de célébrer les jours saints en nos paroisses. De nombreuses communions (et le buis béni) ont été portées à domicile ; des messages d’espérance et d’amitié ont été échangés avec ceux qui sont isolés… La Résidence du Couquemont a vécu sa première messe de Pâques avec une assemblée enthousiaste, après tant de mois de privation d’Eucharistie…

 Oui, ce furent de beaux moments, portés par le travail de nombreux bénévoles soignant particulièrement la décoration, choisissant les plus beaux chants et accueillant avec chaleur les chanceux qui avaient pu s’inscrire à temps… A chaque célébration, il était fait mention des absents : chacun avait pour mission de les représenter, de les porter avec lui devant le Seigneur, pour qu’eux aussi puissent ressentir qu’ils font partie de la communauté et recevoir les mêmes grâces. Merci aux équipes d’anges gardiens ! Merci aussi à nos musiciens, fleuristes, lecteurs et lectrices… 

 Nous pouvons bien sûr attendre avec résignation que les Conseils de Co-ceci ou de Co-cela veuillent bien ouvrir davantage la porte de nos églises à la pratique d’un culte qui était de toute façon déjà en désaffection et que le confinement est venu juste réduire encore un peu plus en peau de chagrin… Mais, s’il est vrai que la pratique du culte est la partie la plus « visible » de notre vie chrétienne et communautaire, c’est bien à un autre niveau que les défis nous sont lancés pour l’édification de l’Eglise de demain. Ce que nous fait vivre cette épidémie peut nous interroger sur les combats que nous avons à mener.

 Car l’Eglise ne peut pas vivre en dehors du monde. La messe ne peut pas être une « bulle » de bien-être où l’on se tient au chaud avec des gens qu’on a choisis. Et nous sommes attendus au-dehors, vers ce que le pape François appelle « les périphéries », pour partager avec nos frères humains leurs rêves et leurs combats, et s’engager avec eux pour la terre, la justice sociale, économique, environnementale, une société où l’homme ne serait plus un loup pour l’homme… où l’on ne pollue plus la planète en détruisant les ressources des générations futures… Aujourd’hui, nous le savons, ces choix sont cruciaux.

Pour avancer sur une telle voie sans nous perdre dans un vague "humanisme" mais en gardant notre spécificité chrétienne, nous avons besoin d'une seule chose : d'obéir à l'Esprit-Saint. J'ai été interpellé la semaine dernière par une lecture des Actes des Apôtres où le diacre Etienne, face aux Docteurs de la Loi et aux chefs des prêtres qui le jugeaient, n'hésitait pas à leur lancer : "Depuis toujours, vous résistez à l'Esprit-Saint !" (Ac 7,51). N'est-ce pas souvent notre cas, hélas ? Vivre sous la conduite de l'Esprit nous fait renoncer à notre petit "être-pour-soi" pour préférer Dieu ;  préférer la simplicité (spirituelle et même matérielle) à la richesse, le service humble aux honneurs mondains, la douceur à la force, le respect et la collaboration à la compétition et à la domination...

Si une nouvelle Eglise doit naître après le confinement, elle devra être mue par ce désir de recréer une communauté où l'Esprit prime sur la Loi, et la fraternité sur l'orgueil : Ce combat ne se fait pas avec nos propres forces, mais avec celles que le Seigneur nous donne. La Pentecôte que nous allons bientôt célébrer, rappelle et ravive dans l'Eglise le don de l'Esprit Saint ; mais saurons-nous l'accueillir, et surtout ne pas lui résister ?... On pourrait avoir l'impression que nous avons développé à son égard une sorte d'immunité comme celle que nous pourrions avoir vis-à-vis d'un virus nocif !

Puisque de son côté la vaccination avance pour nous protéger du Covid - ce qui est une très bonne chose, je nous engage tous, frères et soeurs avec qui j'essaye de vivre comme vous en chrétien, je nous engage à invoquer en ce temps pascal le Saint esprit pour être renouvelé par ses dons : la douceur, la bonté, la joie, l'amour, la confiance dans les autres et en Dieu, la paix. Chaque jour, nous nous préparo,s à cette aventure d'une vie enthousiaste même face à la pandémie. N'attendons pas la fin du port du masque et l'élargissement de nos assemblées pour pouvoir se reconnaître, se saluer et se parler dans les rues ensoleillées de notre commune ! "Allumez le feu !" dirait Johnny.

O Seigneur, envoie ton Esprit qu'il renouvelle la face de la terre !

Bernard Pönsgen, curé


dimanche 25 avril 2021

 

NOUVELLES DE LA COMMUNAUTE 24-25/04/2021

 

Nous avons célébré cette semaine les funérailles :

-jeudi 22 à St Fiacre : Madame Madeleine FRANSOLET, veuve de Claude GODARD (87 ans)

-samedi 24 à St Fiacre : Monsieur Georges JOB, époux de Nathalie DEWITTE (59 ans)

 

Nous vous annonçons aussi le décès :

-Sandra PFAFF, décédée subitement à Battice à 48 ans ; une cérémonie évangélique aura lieu en l’église St Fiacre lundi 26 à 10h30 pour les proches.

-Madame Maguy NOËL, veuve de Georges HOTCHAMPS, décédée aux Heures Claires ce samedi à 83 ans ; les funérailles auront lieu mercredi 28 à 10h30 en l’église St Laurent d’Andrimont.

 

 

Inscriptions aux messes :

Pas d’assouplissement en vue au niveau du culte pour les assemblées, toujours limitées à 15 personnes hélas. Nous vous invitons donc à continuer de vous inscrire auprès de la personne renseignée sur votre feuillet pour pouvoir participer à la messe dominicale.

 

 

A propos des Communions :

Comme vous le savez, les professions de foi ont été reportées en septembre à cause de la situation sanitaire et de l’impossibilité d’organiser la retraite.

Concernant les premières communions qui se vivent en unité pastorale, elles auront bien lieu (si rien ne change au niveau des restrictions) le dimanche 6 juin à St Fiacre comme prévu, mais en deux groupes successifs et en présence des seuls parents.

 

samedi 24 avril 2021

 

 4ème dimanche de Pâques : "le Berger et la pierre d'angle"

Lien vers la feuille liturgique






Lecture du livre des Actes des Apôtres

En ces jours-là, Pierre, rempli de l’Esprit Saint, déclara : « Chefs du peuple et anciens, nous sommes interrogés aujourd’hui pour avoir fait du bien à un infirme, et l’on nous demande comment cet homme a été sauvé. Sachez-le donc, vous tous, ainsi que tout le peuple d’Israël : c’est par le nom de Jésus le Nazaréen, lui que vous avez crucifié mais que Dieu a ressuscité d’entre les morts, c’est par lui que cet homme se trouve là, devant vous, bien portant. Ce Jésus est la pierre méprisée de vous, les bâtisseurs, mais devenue la pierre d’angle. En nul autre que lui, il n’y a de salut, car, sous le ciel, aucun autre nom n’est donné aux hommes, qui puisse nous sauver. »

PSAUME

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

En ce temps-là, Jésus déclara : « Moi, je suis le bon pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis. Le berger mercenaire n’est pas le pasteur, les brebis ne sont pas à lui : s’il voit venir le loup, il abandonne les brebis et s’enfuit ; le loup s’en empare et les disperse. Ce berger n’est qu’un mercenaire, et les brebis ne comptent pas vraiment pour lui. Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent, comme le Père me connaît, et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis. J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cet enclos : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur. Voici pourquoi le Père m’aime : parce que je donne ma vie, pour la recevoir de nouveau. Nul ne peut me l’enlever : je la donne de moi-même. J’ai le pouvoir de la donner, j’ai aussi le pouvoir de la recevoir de nouveau : voilà le commandement que j’ai reçu de mon Père. »


Homélie du curé Bernard pour le 4ème dimanche de Pâques : 



Pour les enfants : Une vidéo sympa et instructive !




vendredi 16 avril 2021

 3ème dimanche de Pâques : "Touchez-moi !"

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Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là, les disciples qui rentraient d’Emmaüs racontaient aux onze Apôtres et à leurs compagnons ce qui s’était passé sur la route, et comment le Seigneur s’était fait reconnaître par eux à la fraction du pain. Comme ils en parlaient encore,  lui-même fut présent au milieu d’eux, et leur dit : « La paix soit avec vous ! » Saisis de frayeur et de crainte, ils croyaient voir un esprit. Jésus leur dit : « Pourquoi êtes-vous bouleversés ? Et pourquoi ces pensées qui surgissent dans votre cœur ? Voyez mes mains et mes pieds : c’est bien moi ! Touchez-moi, regardez : un esprit n’a pas de chair ni d’os comme vous constatez que j’en ai. » Après cette parole, il leur montra ses mains et ses pieds. Dans leur joie, ils n’osaient pas encore y croire, et restaient saisis d’étonnement. Jésus leur dit : « Avez-vous ici quelque chose à manger ? » Ils lui présentèrent une part de poisson grillé qu’il prit et mangea devant eux. Puis il leur déclara : « Voici les paroles que je vous ai dites quand j’étais encore avec vous : “Il faut que s’accomplisse tout ce qui a été écrit à mon sujet dans la loi de Moïse, les Prophètes et les Psaumes.” » Alors il ouvrit leur intelligence à la compréhension des Écritures. Il leur dit : « Ainsi est-il écrit que le Christ souffrirait, qu’il ressusciterait d’entre les morts le troisième jour, et que la conversion serait proclamée en son nom, pour le pardon des péchés, à toutes les nations, en commençant par Jérusalem. À vous d’en être les témoins. »


Homélie du curé Bernard pour le 3ème dimanche de Pâques : 



Pour notre réflexion : Un enseignement audio de Christian Gagneux 

 


Touché par Jésus et toucher Jésus (cliquez sur l'image)


De nos 5 sens, le toucher est un sens primordial. Le toucher est le seul de nos sens qui implique une réciprocité. On ne peut toucher sans être touché !

Dans les Evangiles, la notion du toucher a beaucoup de valeur. Nous sommes très loin de l’image de Dieu dans l’Ancien Testament, intouchable, inaccessible.

En se laissant toucher et en touchant, Jésus fait la preuve de sa complète humanité et de son amour pour l’homme.

Dans ce message Christian Gagnieux nous fait découvrir comment nous pouvons toucher Jésus et comment Lui veut nous toucher. 


Le toucher dans la Bible et dans la liturgie (cliquez sur l'image ou sur le titre)

mainsCet exposé a été préparé pour la session de mai 2017 pour les personnes en situation de malvoyance (conférence des évêques de France, outils pour le catéchuménat).

mardi 13 avril 2021

VOIR OU REVOIR

  Voir ou revoir

"Fidèles. A la croisée des chemins" 

> Comment vivre la pratique de sa foi dans une société qui tend à s'en détourner ?

(Un reportage de la RTBF diffusé sur La 3 le 12/04/2021 - actuellement encore sur Auvio, avec la participation de Thomas Sabbadini et de Gabriel Ringlet)



Vu la mauvaise qualité de ce post (le blog ne supporte pas des vidéos perso de plus de 100 Mo ), voici le lien vers la page Auvio de la RTBF : https://www.rtbf.be/auvio/detail_fideles-a-la-croisee-des-chemins?id=2756762



samedi 10 avril 2021

 2ème dimanche de Pâques : "Sois croyant !"

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Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

C’était après la mort de Jésus. Le soir venu, en ce premier jour de la semaine, alors que les portes du lieu où se trouvaient les disciples étaient verrouillées par crainte des Juifs, Jésus vint, et il était là au milieu d’eux. Il leur dit : « La paix soit avec vous ! » Après cette parole, il leur montra ses mains et son côté. Les disciples furent remplis de joie en voyant le Seigneur. Jésus leur dit de nouveau : « La paix soit avec vous ! De même que le Père m’a envoyé, moi aussi, je vous envoie. » Ayant ainsi parlé, il souffla sur eux et il leur dit : « Recevez l’Esprit Saint. À qui vous remettrez ses péchés, ils seront remis ; à qui vous maintiendrez ses péchés, ils seront maintenus. »
Or, l’un des Douze, Thomas, appelé Didyme (c’est-à-dire Jumeau), n’était pas avec eux quand Jésus était venu. Les autres disciples lui disaient : « Nous avons vu le Seigneur ! » Mais il leur déclara : « Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, si je ne mets pas mon doigt dans la marque des clous, si je ne mets pas la main dans son côté, non, je ne croirai pas ! »
Huit jours plus tard, les disciples se trouvaient de nouveau dans la maison, et Thomas était avec eux. Jésus vient, alors que les portes étaient verrouillées, et il était là au milieu d’eux. Il dit : « La paix soit avec vous ! » Puis il dit à Thomas : « Avance ton doigt ici, et vois mes mains ; avance ta main, et mets-la dans mon côté : cesse d’être incrédule, sois croyant. » Alors Thomas lui dit : « Mon Seigneur et mon Dieu ! » Jésus lui dit : « Parce que tu m’as vu, tu crois. Heureux ceux qui croient sans avoir vu ». Il y a encore beaucoup d’autres signes que Jésus a faits en présence des disciples et qui ne sont pas écrits dans ce livre. Mais ceux-là ont été écrits pour que vous croyiez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et pour qu’en croyant, vous ayez la vie en son nom.


Pour notre réflexion : Une conférence du Père Henri Boulad, jésuite égyptien francophone de rite melkite : "L'avenir de l'Eglise... Si l'Eglise mourrait ?"  Lucide et positif !

(La vidéo commence après 30 secondes de lancement.)



samedi 3 avril 2021

PÂQUES

 Pâques : "Ne cherchez pas parmi les morts Celui qui est vivant" 

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Veillée pascale à Saint Jean-Baptiste (Mont):


(vidéo bientôt chargée - si la qualité ne permet pas de bien entendre, 
vous pouvez réécouter l'homélie ici plus bas sur un autre clip) 









Évangile de Jésus Christ selon saint Marc (16,1-7)

Le sabbat terminé, Marie Madeleine, Marie, mère de Jacques, et Salomé achetèrent des parfums pour aller embaumer le corps de Jésus. De grand matin, le premier jour de la semaine, elles se rendent au tombeau dès le lever du soleil. Elles se disaient entre elles : « Qui nous roulera la pierre pour dégager l’entrée du tombeau ? » Levant les yeux, elles s’aperçoivent qu’on a roulé la pierre, qui était pourtant très grande. En entrant dans le tombeau, elles virent, assis à droite, un jeune homme vêtu de blanc. Elles furent saisies de frayeur. Mais il leur dit : « Ne soyez pas effrayées ! Vous cherchez Jésus de Nazareth, le Crucifié ? Il est ressuscité : il n’est pas ici. Voici l’endroit où on l’avait déposé. Et maintenant, allez dire à ses disciples et à Pierre : “Il vous précède en Galilée. Là vous le verrez, comme il vous l’a dit.” »

Homélie du curé :  Chercher Jésus !  



vendredi 2 avril 2021

 Samedi-Saint : Le grand silence 


En ce vendredi soir qui est le début du samedi juif, un grand silence s’installe autour de la dépouille du crucifié au tombeau. Un grand silence enveloppe ses disciples, éperdus et abattus.

En ce jour, pas de geste sacramentel comme au Jeudi Saint, pas de vénération comme au Vendredi Saint, pas de procession, pas de longues lectures. Les autels sont nus. Les crucifix et statues sont voilés. C’est un jour en creux. Ce n’est pas le moment pour des répétitions au presbytère ou des achats de dernière minute. Dans l’église, le dépouillement dispose au recueillement de l’oraison contemplative. Le tabernacle est ouvert, il n’y a plus rien, sauf l’attente de l’aube bienheureuse.

En ce jour de repos, le fidèle est invité à descendre dans sa « cellule intérieure », comme disait Catherine de Sienne, pour vivre un cœur à cœur amoureux avec le Christ en prolongeant sa prière d’offrande au Père.

Le seul geste qui reste à l’Église c’est le chant. Le chant des psaumes particulièrement.

Et puis, par-dessus tout, il y a le silence de Jésus, le silence du 7ème jour, quand « Tout est accompli ».

Ce silence immense nous étreint, nous bouleverse. Il rejoint tous les silences de ces entre-deux qui jalonnent notre route. L’entre-deux qui marque le début d’un deuil. L’entre-deux après un éblouissement intense d’où il faut bien redescendre ensuite. L’entre-deux de nos périodes de calme plat, dont nos confinements sanitaires successifs nous ont donné une idée. L’entre-deux du Vendredi saint à Pâques est ce moment-là où il ne se passe plus rien.

L’office des Lectures du Samedi Saint nous fait lire chaque année à ce moment-là une homélie du IV° siècle attribuée à Saint Épiphane de Salamine :


Éveille-toi, ô toi qui dors !

« Que se passe-t-il ? Aujourd’hui, grand silence sur la terre ; grand silence et ensuite solitude parce que le Roi sommeille. La terre a tremblé et elle s’est apaisée, parce que Dieu s’est endormi dans la chair et il a éveillé ceux qui dorment depuis les origines. Dieu est mort dans la chair et le séjour des morts s’est mis à trembler ».

Et le Cantique des cantiques dit : « Je vous en conjure, filles de Jérusalem, par les gazelles, par les biches des champs, n’éveillez pas, ne réveillez pas l’Amour, avant qu’il le veuille » (Ct 2, 7).

« Jésus ne descend pas seulement chez les morts; il descend dans sa mort; il descend dans l’état de mort et il l’habite. Il l’habite longuement, posément, gravement; ainsi lorsque nous serons nous-même en cet état, nous n’y serons pas seuls : nous le trouverons déjà habité et réchauffé par lui; Jésus s’y sera allongé, déjà, à notre place, attendant la résurrection. » [1].

 Patrick Braud


[1]. François Cassingena-Trévedy, Étincelles, Ed. Ad Solem, 2004, p. 61


VENDREDI-SAINT

 Vendredi-Saint : "Ma vie, c'est moi qui la donne" (2 avril)

Lien vers la feuille liturgique


L'HORAIRE DU TRIDUUM PASCAL EST PUBLIE ICI A DROITE SUR L'ECRAN =>









Évangile de Jésus Christ selon saint Jean (la Passion)


Homélie du curé :  Le voile de Véronique